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Arbitrum, un projet dédié à la résolution des problèmes d’évolutivité de la blockchain Ethereum, c’est un acteur majeur dans le domaine des Layer 2 (L2). Arbitrum repose sur la technologie Optimistic Rollup, une technologie de couche 2 qui permet d’améliorer les performances et de réduire les coûts des transactions sur la blockchain Ethereum, en combinant des smart contracts.
En pratique, Optimistic Rollup permet de traiter les transactions en deux étapes. D’abord, toutes les transactions sont effectuées sur une couche secondaire en dehors de la blockchain principale, où elles sont traitées et vérifiées.
Ensuite, une fois que toutes les transactions ont été traitées, une preuve est envoyée à la blockchain Ethereum pour finaliser les transactions.
Cette méthode permet de traiter plusieurs transactions off chain en une seule transaction sur la blockchain principale, ce qui réduit considérablement les coûts de transaction et augmente la vitesse de traitement des transactions.
L’histoire d’Arbitrum est une histoire de persévérance, d’innovation et d’engagement envers l’amélioration de l’écosystème blockchain. Elle remonte à la recherche sur les sidechains et les Layer 2 menée par diverses équipes dans l’écosystème crypto. Cependant, l’histoire d’Arbitrum en tant que solution de mise à l’échelle de couche 2 a été spécifiquement développée par Offchain Labs, une entreprise fondée par trois esprits brillants : Steven Goldfeder, Harry Kalodner et Ed Felten.
Leur voyage vers la création d’Arbitrum est un exemple de l’innovation dans le domaine de la blockchain. Le concept d’Arbitrum a germé à une époque où Ethereum, l’une des blockchains les plus populaires avec Bitcoin (acheter Bitcoin), faisait face à des problèmes d’évolutivité. Les temps de confirmation des transactions étaient devenus plus longs, et les frais de transaction avaient atteint des niveaux prohibitifs. Cela a créé une demande croissante de solutions de mise à l’échelle pour résoudre ces problèmes, et Arbitrum s’est positionné comme l’une de ces solutions. Le projet a commencé à prendre forme lorsque Steven Goldfeder, Harry Kalodner et Ed Felten ont uni leurs forces pour explorer des solutions potentielles à ces défis.
Ils avaient tous des antécédents impressionnants dans les domaines de la sécurité informatique, de la cryptographie et de la recherche en blockchain, ce qui en a fait une équipe formidable pour aborder ces problèmes complexes. La première idée qui a conduit à la création d’Arbitrum était de tirer parti de la conception de la “rollup”.
Les rollups sont des solutions de mise à l’échelle de couche 2 qui permettent de regrouper un grand nombre de transactions en un seul point de données sur la blockchain principale, réduisant ainsi la congestion et les frais de transaction.
Cette approche a été particulièrement innovante, car elle offrait une solution efficace pour améliorer l’évolutivité tout en tirant parti de la sécurité de la blockchain principale, en l’occurrence Ethereum. Au fil des mois, l’équipe a travaillé dur pour développer et affiner la technologie qui sous-tend Arbitrum.
Ils ont mené des recherches approfondies, écrit des codes complexes et collaboré avec d’autres experts de l’industrie pour s’assurer que leur solution serait à la hauteur des attentes.
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L’équipe à la barre d’Arbitrum est composée de personnalités éminentes et d’experts de renom dans le domaine de la blockchain, de la sécurité informatique et de la cryptographie. Voici un aperçu des principaux acteurs qui ont contribué à faire d’Arbitrum une réalité :
Steven Goldfeder, PDG d’Arbitrum : Steven est une figure éminente de la sécurité informatique et de la cryptographie. Il a publié de nombreuses recherches de pointe dans ces domaines et a acquis une réputation solide en tant qu’expert. Avant de se lancer dans l’aventure Arbitrum, il a obtenu son doctorat et a été nommé professeur adjoint d’informatique à l’Université de Princeton, où il continue de jouer un rôle clé dans l’enseignement et la recherche.
Harry Kalodner, le co-fondateur et CTO d’Arbitrum : Harry est un expert de la blockchain et de la cryptographie. Avant de co-fonder Arbitrum, il a travaillé en tant que chercheur chez Microsoft Research, où il s’est consacré à des projets liés à la sécurité de la blockchain et à la confidentialité.
Ses compétences techniques et son expérience dans ces domaines ont été essentielles pour le développement de la technologie sous-jacente d’Arbitrum.
Ari Juels, le co-fondateur d’Arbitrum : Ari est un autre membre éminent de l’équipe d’Arbitrum. Il est professeur de génie électrique et informatique à l’Université Cornell, où il a également occupé le poste de directeur du laboratoire de sécurité informatique. Ses connaissances en sécurité informatique et en cryptographie ont été des atouts inestimables pour le projet.
L’équipe d’Arbitrum est complétée par de nombreux autres talents et experts, chacun apportant sa propre expertise pour faire progresser le projet. Leur engagement envers l’amélioration de l’écosystème blockchain et leur dévouement à la création d’une solution de mise à l’échelle efficace ont été des facteurs clés de succès pour Arbitrum.
Arbitrum est devenu l’une des solutions de mise à l’échelle de couche 2 les plus en vue dans l’écosystème Ethereum. Son histoire est un exemple de la manière dont l’innovation, la persévérance et une équipe talentueuse peuvent contribuer de manière significative à l’évolution de la technologie blockchain.
Alors que l’écosystème continue de croître et de se développer, Arbitrum est bien placé pour jouer un rôle central dans l’avenir de la mise à l’échelle de la blockchain.
Arbitrum fonctionne en utilisant une approche appelée Optimistic Rollup. Dans ce modèle, la plupart des opérations sont exécutées hors de la chaîne principale d’Ethereum, puis les résultats sont soumis à Ethereum pour vérification. Cette méthode permet de réduire considérablement les frais de transaction et d’accélérer les temps de confirmation tout en maintenant la sécurité.
En pratique, Optimistic Rollup permet de traiter les transactions en deux étapes. D’abord, toutes les transactions sont effectuées sur une couche secondaire en dehors de la blockchain principale, où elles sont traitées et vérifiées.
Ensuite, une fois que toutes les transactions ont été traitées, une preuve est envoyée à la blockchain Ethereum pour finaliser les transactions. Cette méthode permet de traiter plusieurs transactions off chain en une seule transaction sur la blockchain principale, ce qui réduit considérablement les coûts de transaction et augmente la vitesse de traitement des transactions.
L’airdrop Arbitrum (l’airdrop fut un succès, il est intéressant de le mentionner).
Au total, 1 milliard de jetons ARB seront émis. Ils seront répartis comme suit :
L’airdrop représente environ 12% de l’offre totale d’ARB et les tokens sont offerts aux personnes ayant utilisé le réseau au cours de l’année écoulée. Près de la moitié de l’offre totale de la pièce numérique ira à la fondation Arbitrum. Offchain Labs.
Arbitrum a beaucoup profité de la stratégie marketing qu’il a choisie, à savoir la technique du airdrop , pour distribuer son token natif à la communauté : dans les mois qui ont précédé l’annonce de la sortie du token ARB, de nombreux capitaux ont afflué d’Ethereum et d’autres chaînes.
L’airdrop Arbitrum a été un grand succès et a contribué à susciter un intérêt massif pour le projet. Les détenteurs de tokens ETH ont été récompensés par des tokens ARB lors de cet airdrop, ce qui a incité de nombreux utilisateurs d’Ethereum à explorer Arbitrum en tant que solution Layer 2.
Un Layer 2 (ou couche 2) est une couche supplémentaire construite au-dessus d’une blockchain existante (dans ce cas, Ethereum) pour améliorer ses performances. Il permet de décharger une partie de la charge de travail de la chaîne principale, ce qui réduit la congestion et les coûts des transactions.
Les Layer 2 ont émergé au début des années 2019, en réponse à la nécessité de résoudre les problèmes d’évolutivité (scalabilité) des blockchains, notamment Ethereum. Le réseau Ethereum, en particulier, a souffert de problèmes de congestion et de coûts de transaction élevés, ce qui a incité le développement de solutions Layer 2.
Les Layer 2 sont apparues en raison de plusieurs défis techniques auxquels sont confrontées les blockchains, notamment :
Évolutivité : Les blockchains Layer 1, comme Ethereum, ont une capacité limitée en termes de transactions par seconde (TPS). Les Layer 2 offrent une solution pour traiter un plus grand nombre de transactions à moindre coût.
Frais de transaction : En déplaçant une partie des transactions hors de la chaîne principale, les Layer 2 réduisent les frais de transaction, les rendant plus accessibles aux utilisateurs.
Latence : Les Layer 2 peuvent fournir des confirmations de transaction plus rapides en utilisant des mécanismes de consensus plus efficaces.
Adoption : Les Layer 2 facilitent l’adoption des blockchains en rendant l’expérience utilisateur plus fluide et moins coûteuse.
Les différents layer 2
Définition : Une preuve à connaissance nulle ou un protocole à connaissance nulle est une méthode par laquelle une partie (le prouveur) peut prouver à une autre partie (le vérificateur) qu’une déclaration donnée est vraie tandis que le prouveur évite de transmettre des informations supplémentaires. du fait que la déclaration est effectivement vraie.
Exemple simple : Jean-Jacques Quisquater “la parabole de la caverne d’Ali baba” ZK = Scaling + Privacy
Il s’agit à la fois d’une technologie améliorant la confidentialité, car elle réduit la quantité d’informations qui doivent être fournies entre les utilisateurs, et d’une technologie de mise à l’échelle, puisqu’elle peut permettre de vérifier les preuves plus rapidement. Les nouvelles technologies ZK comme ZK Starks sont disponibles depuis peu ! Le consensus général est qu’ils sont meilleurs que les ZK Snarks.
Les différences entre ZK :
zk-STARK (Zero-Knowledge Scalable Transparent) zk-STARK est comme une gigantesque salle de marché transparente où chaque transaction est visible par tous, mais aucune information privée n’est révélée.
Les ZK-SNARK à leur base dépendent de courbes elliptiques pour leur sécurité Cas d’utilisation : Hermez, Starknet, StarkWare, DYDX, Immutable X zk-SNARK (Zero-Knowledge Succinct Non-Interactive Argument of Knowledge).
zk-SNARK est plus comme une boîte noire sécurisée où vous pouvez déposer vos transactions sans que personne ne puisse les voir. Signifie un argument de connaissance transparent , évolutif et sans connaissance. Les STARK s’appuient sur des fonctions de hachage. Cas d’utilisation : Zksync, Zcash, Loopring, ZKSwap, Linea, Polygon zkEVM.
Un “Optimistic Rollup” est une solution de mise à l’échelle qui permet d’améliorer les performances d’une infrastructure de registre distribué existante. Cette approche repose sur la création d’une couche supplémentaire (Layer 2) au-dessus de cette infrastructure principale (Layer 1). La couche 2 traite initialement les transactions plus rapidement et à moindre coût que la couche principale. Elle assume que les transactions sont valides par défaut, ce qui est optimiste. Ensuite, ces transactions sont soumises à la couche principale pour validation périodique, avec une possibilité de contestation. Cette méthode vise à optimiser les performances tout en maintenant un niveau de sécurité satisfaisant.
L’écosystème d’Arbitrum est en pleine croissance, avec de nombreuses applications DeFi (Finance Décentralisée) et d’autres projets exploitant la technologie Layer 2 d’Arbitrum pour offrir une expérience utilisateur améliorée sur Ethereum. Des projets comme Uniswap, Aave et Sushi ont déjà intégré Arbitrum, ouvrant ainsi la voie à une adoption plus large.
Données techniques (un petit tableau avec les éléments indiqués ci-dessous) : TPS, nodes, mécanisme de consensus, langages de programmation utilisés pour les smarts contracts, staking, sécurité, gouvernance, bridges qui existent, portefeuilles compatibles.
Le token ARB est essentiel pour le bon fonctionnement d’Arbitrum. Il est utilisé pour sécuriser le réseau en incitant les validateurs à suivre les règles et à vérifier les transactions. De plus, il permet aux utilisateurs d’accéder aux fonctionnalités de la plateforme, notamment le paiement des frais de transaction.
Avantages :
Compatibilité avec l’EVM (Ethereum Virtual Machine)
Période de retrait d’environ 1 jour (dans des circonstances normales)
Pas de déploiement sur liste blanche, ce qui permet à davantage d’applications décentralisées d’être déployées rapidement
Non-custodiale et compatible avec les portefeuilles Ethereum
Inconvénients :
Utilise actuellement un séquenceur centralisé, ce qui comporte un risque de front-running
Moins de possibilités de composition avec l’EVM par rapport à Optimism
Complexité lors du passage entre les Rollups et les sidechains tout en garantissant une sécurité élevée
Les tokens natifs d’Arbitrum sont appelés ARB. La création des ARB est essentiellement liée au rôle des validateurs et au mécanisme de consensus utilisé dans le réseau. Arbitrum utilise un mécanisme de consensus appelé “Rollup”, qui est une forme d’Optimistic Rollup.
Les validateurs dans le réseau sont responsables de la validation des transactions et de la sécurité du réseau. Ils sont incités à bien se comporter par le biais de récompenses en ARB. Ces récompenses en ARB sont générées par les utilisateurs qui paient des frais de transaction lorsqu’ils interagissent avec Arbitrum.
Une partie de ces frais est ensuite distribuée aux validateurs sous forme de récompenses pour leur travail. Cela crée un incitatif fort pour les validateurs à maintenir le réseau en bonne santé et sécurisé. Outre les récompenses pour les validateurs, Arbitrum a également mis en place un mécanisme de création de tokens pour les développeurs de dApps (applications décentralisées) qui utilisent la plateforme.
Les développeurs peuvent être récompensés en ARB pour leurs contributions à l’écosystème, ce qui encourage la création de nouvelles applications et l’adoption de la plateforme.
Utilisation des Tokens ARB
Les tokens ARB ont plusieurs utilisations au sein de l’écosystème Arbitrum :
Paiement des Frais de Transaction : Les utilisateurs doivent payer des frais de transaction en ARB pour effectuer des opérations sur le réseau, tels que l’envoi de transactions, la création de contrats intelligents, etc. Ces frais sont utilisés pour inciter les validateurs à maintenir le réseau sécurisé.
Staking : Arbitrum offre également la possibilité de staker ses tokens ARB. Les utilisateurs peuvent verrouiller leurs tokens dans le réseau pour contribuer à la sécurité et au bon fonctionnement du réseau. En retour, ils reçoivent des récompenses en ARB.
Gouvernance : Les tokens ARB peuvent être utilisés pour participer aux décisions de gouvernance du réseau. Les détenteurs de tokens peuvent voter sur des propositions de mise à jour du protocole, des changements de paramètres, et d’autres décisions importantes.
Incitations aux Développeurs : Les développeurs d’applications décentralisées (dApps) peuvent être récompensés en ARB pour leurs contributions à l’écosystème. Cela peut encourager l’innovation et la création de nouvelles dApps sur la plateforme.
Distribution des Tokens ARB
La distribution initiale des tokens ARB a été effectuée lors d’une vente de tokens privée et publique. Cela a permis de lever des fonds pour le développement d’Arbitrum et d’attirer l’attention de la communauté crypto. Cependant, Arbitrum prévoit également de distribuer des tokens ARB de manière décentralisée pour encourager la participation communautaire. Une partie importante des tokens ARB est destinée à être distribuée aux validateurs du réseau en tant que récompenses pour leur travail.
Cela garantit que les acteurs clés responsables de la sécurité et de la stabilité du réseau sont incités à bien agir.
Implications pour les Utilisateurs et les Investisseurs
La tokenomics d’Arbitrum a des implications significatives pour les utilisateurs et les investisseurs :
Utilisateurs : les utilisateurs d’Arbitrum doivent s’assurer qu’ils détiennent des tokens ARB pour payer les frais de transaction. De plus, en stakant leurs tokens, ils peuvent gagner des récompenses, ce qui peut être un incitatif pour maintenir leur engagement sur la plateforme. Les détenteurs de tokens ARB peuvent également participer à la gouvernance du réseau.
Développeurs : les développeurs dApps ont la possibilité de gagner des tokens ARB en contribuant à l’écosystème, ce qui peut être un moyen de financer le développement de leurs projets.
Investisseurs : pour les investisseurs, la tokenomics d’Arbitrum peut représenter une opportunité d’investissement. La demande croissante pour les tokens ARB liée à l’adoption croissante de la plateforme pourrait potentiellement augmenter la valeur des tokens.
Coinhouse exprime un avis favorable à l’égard d’Arbitrum en tant que solution de couche 2 largement adoptée dans l’écosystème.
La valorisation actuelle d’Arbitrum est considérée comme une opportunité attrayante pour la diversification d’un portefeuille, offrant la possibilité de choisir un altcoin susceptible de générer d’importantes gains au cours des prochaines années.
Il est important de noter que ce type d’actif comporte des risques, notamment en raison de la forte concurrence dans ce domaine. Cependant, lorsqu’il s’agit de sélectionner un token à inclure dans son portefeuille, Coinhouse recommande d’analyser la Total Value Locked (TVL), et pour le moment, Arbitrum se positionne en leader devant ses concurrents.
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