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Ethereum a été présenté en 2013 sous la forme d’un document, le ‘’White Paper’’, proposant une évolution du protocole Bitcoin.
Il a été rédigé par Vitalik Buterin, jeune programmeur faisant partie des équipes Bitcoin et co-fondateur de Bitcoin Magazine.
Rapidement, le concept suscite l’intérêt d’autres adeptes des cryptomonnaies à l’époque, qui se joignent au projet.
Pour en citer quelques-uns : Anthony Di Iorio, Charles Hoskinson, Joseph Lubin ou encore Gavin Wood.
Ces personnes sont désormais considérées comme les co-fondateurs d’Ethereum.
Pour concrétiser son projet, Vitalik Buterin s’engage dans une campagne de financement participatif.
Une levée de fonds en Bitcoin (acheter du Bitcoin rapidement) a lieu à compter du 2 septembre 2014 afin de financer les développements nécessaires au lancement du réseau.
Il parvient à lever 18,3 millions de dollars. Séduits par les objectifs du projet, des programmeurs s’impliquent et la première version d’Ethereum sort en 2015 sous le nom de ‘’Frontier’’.
Ethereum a été lancé en 2015 par Vitalik Buterin, un jeune programmeur et passionné de cryptographie, qui souhaitait créer une plateforme décentralisée permettant de développer des applications au-delà de simples transactions financières, contrairement à Bitcoin.
L’idée d’Ethereum est née en 2013 lorsque Buterin publie le whitepaper du projet, détaillant une vision pour une “blockchain programmable” où les développeurs pourraient créer des applications décentralisées (dApps) et des contrats intelligents, exécutés automatiquement sans tiers de confiance.
En 2014, Ethereum réalise une levée de fonds sous forme d’Initial Coin Offering (ICO), qui devient l’une des plus grandes à l’époque, permettant de financer le développement du réseau.
L’équipe fondatrice d’Ethereum comprenait plusieurs figures influentes de l’écosystème blockchain. Outre Buterin, il y avait Gavin Wood, qui a créé le langage de programmation Solidity pour les contrats intelligents et a joué un rôle crucial dans l’architecture technique d’Ethereum.
Joseph Lubin, entrepreneur et cofondateur de ConsenSys, a également été un acteur majeur dans la promotion et le développement de l’écosystème Ethereum.
D’autres cofondateurs, comme Anthony Di Iorio, Mihai Alisie, Amir Chetrit, Charles Hoskinson, et Jeffrey Wilcke, ont également contribué de manière significative aux premières étapes du projet, chacun apportant des compétences variées allant du développement au financement.
Au fil des ans, Ethereum a continué d’évoluer, soutenu par une communauté mondiale de développeurs, de chercheurs, et d’entrepreneurs.
En 2022, Ethereum a franchi une étape majeure avec “The Merge“, une mise à jour qui a permis de passer d’un mécanisme de consensus Proof of Work (PoW) à Proof of Stake (PoS), réduisant considérablement la consommation d’énergie du réseau et posant les bases pour une meilleure évolutivité et sécurité.
Aujourd’hui, Ethereum est la deuxième plus grande blockchain au monde par capitalisation de marché, et continue de jouer un rôle de premier plan dans l’innovation blockchain avec des projets dans la finance décentralisée (DeFi), les NFT, et au-delà.
Ethereum est une plateforme blockchain décentralisée qui permet aux développeurs de créer et de déployer des applications décentralisées (dApps) et des contrats intelligents.
Ci-dessous, le fonctionnement d’Ethereum :
La traduction littérale depuis l’anglais, qui donne le terme ‘’contrats intelligents’’, n’est pas la plus adaptée pour bien comprendre de quoi il s’agit.
Ces ‘’smart contracts’’ sont des programmes qui visent à automatiser une ou plusieurs actions lorsque des conditions pré-requises, définies par le créateur du programme, sont remplies.
Par exemple, on peut considérer un système d’enchères. On pourra créer un smart contract qui recevra les enchères pour un objet particulier à vendre.
En effet, il sera capable de déterminer l’enchère la plus importante, renverra les enchères inférieures à la fin d’une période déterminée, et ainsi de suite.
On peut bien entendu créer ce genre de programme sur un ordinateur classique, à travers un site web par exemple comme eBay. Cependant, les smart contracts ont un certain nombre de caractéristiques avantageuses :
Mais les smart contracts ont aussi un certain nombre d’inconvénients :
Sur le réseau Bitcoin, le coût d’une transaction dépend de deux facteurs :
– la saturation du réseau à un moment donné,
– la taille en nombre de caractères de la transaction.
Sur Ethereum, le coût de chaque transaction introduit aussi un nouveau facteur : la complexité informatique nécessaire à l’exécution de la transaction.
Une transaction simple d’envoi d’Ether d’un utilisateur à un autre aura un faible coût. Alors, qu’un appel à un smart contract qui déclenche des calculs complexes aura un coût important.
Ce coût, qu’on appelle le gas (essence en anglais, pour faire une analogie avec le fonctionnement d’une machine), doit être payé par l’émetteur de chaque transaction, en Ether.
Il faut garder à l’esprit que chaque appel vers chaque smart contract est recalculé sur chaque machine qui compose la blockchain Ethereum.
On note donc a un impact sur l’ensemble du réseau.
Il n’est donc pas imaginable de faire des calculs intensifs de jeux vidéos ou d’intelligence artificielle sur Ethereum, du moins pas avant quelques années.
Les possibilités offertes aux développeurs par le réseau Ethereum sont vastes. Tout le monde peut développer des applications sur Ethereum. Seul pré-requis : savoir coder en ‘’Solidity’’, le langage de programmation du réseau.
L’une des premières fonctions qui a été utilisée est la ‘’tokenisation’’, c’est-à-dire la création de nouvelles cryptomonnaies.
Elles sont appelées des ‘’tokens’’, que l’on peut traduire par “jetons numériques”, émises grâce à la blockchain Ethereum et hébergées sur celle-ci. Les tokens peuvent être détenus, quantifiés et échangés numériquement entre deux personnes.
Avant le développement d’Ethereum, créer un nouveau cryptoactif était extrêmement compliqué :
– il fallait créer une blockchain,
– un réseau de minage,
– des portefeuilles,
– une gestion économique du système,
– réussir à créer de la demande et de l’adoption.
Avec Ethereum, créer un nouveau cryptoactif revient à générer un smart contract et à le publier, ce qui peut prendre à peine quelques minutes.
Instantanément, le nouvel actif est échangeable, sécurisé par le réseau, interopérable avec l’ensemble de l’écosystème Ethereum.
Les créateurs se simplifient la vie et utilisent plus ou moins gratuitement l’infrastructure existante.
Créer un nouveau token sur la blockchain Ethereum se fait en respectant certains ‘’standards’’ imposés par le réseau.
Le plus populaire de ces standards est appelé ‘’ERC20’’. Chaque token ERC20 est géré par un smart contract qui présente une liste de fonctions minimales :
– comment créer de nouvelles unités, les diviser en fractions, les détruire, les transférer vers un autre portefeuille, etc.
Les jetons Ether (ETH) sont essentiels au fonctionnement de la blockchain Ethereum et servent à plusieurs usages clés :
Sur le marché, la valeur d’Ethereum est représentée par le cours de l’Ether qui est fixé, comme pour Bitcoin, par l’offre et la demande.
L’Ether est lui aussi côté sur de nombreuses plateformes d’échange. Son cours est influencé par les actualités autour de son écosystème mais également par la spéculation, comme pour tout actif financier.
Ethereum est devenu une plateforme fondamentale dans l’écosystème des cryptomonnaies. De nouveaux projets sont créés quasiment tous les jours sur sa blockchain.
Bien que le réseau ne soit pas exempt de tout reproche, notamment autour des frais de transaction, les développements sont nombreux, les améliorations sont en cours et le cours de l’Ether devrait refléter tôt ou tard cette évolution.
Mais attention, si investir dans l’Ether à moyen ou long-terme peut s’avérer être un choix judicieux, il ne faut pas négliger sa forte volatilité : sa valeur peut fortement monter ou baisser en l’espace de quelques jours seulement.
En décembre 2018, le cours ne valait plus que 75 euros. Depuis l’été 2020, une forte tendance haussière est de retour, le cours gagnant environ 1200% sur un an pour se situer autour des 1500 euros. Il faut donc bien considérer ces variations avant d’acheter de l’Ethereum.
En août 2023, le cours de l’Ether se stabilise autour de 1400$.
Avec la hausse du cours du Bitcoin depuis le mois d’octobre 2023, le cours Ethereum (ETH) atteint 2400 $ en décembre 2023.
Le 28 août 2024, suite au lancement des ETF Ethereum Spot aux États-Unis il y a quelques mois, le cours Ethereum est de 2284,09 EUR.
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