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Cardano (ADA) est un projet blockchain initié par le développeur Charles Hoskinson. Dévoilée discrètement en 2015 et financée en 2017 par une ICO ayant levé un montant de 62M$, cette blockchain était mise en ligne le 23 septembre 2017.
Sur le réseau social Reddit, Charles Hoskinson se fait appeler “Ethereumcharles”. Et pour cause, c’est l’un des fondateurs du projet Ethereum aux côtés de Vitalik Buterin, qui a même assumé le rôle de “CEO d’Ethereum” pendant une brève période.
Cette relation n’a cependant pas duré à cause d’une divergence majeure : Buterin voulait qu’Ethereum reste un projet open-source et à but non-lucratif, alors qu’Hoskinson souhaitait faire d’Ethereum une entreprise.
Après une période de négociation, Hoskinson a été invité à quitter le projet et le développement d’Ethereum est resté structuré sous une Fondation à but non-lucratif de droit Suisse. Hoskinson a donc décidé de se pencher sur son propre projet de Blockchain.
Ce projet est Cardano, avec l’actif “ADA”, en hommage à Ada Lovelace, pionnière de l’informatique. Une blockchain qui selon les dires de Hoskinson “a résolu le Proof-Of-Stake” grâce au protocole Ouroboros
Cardano est un projet blockchain Proof-of-Stake de troisième génération, en open-source. Elle est décentralisée et peut exécuter des smart contracts. Cette cryptomonnaie est annoncée à son lancement comme la première blockchain développée avec une philosophie scientifique. Cardano blockchain se présente ainsi en raison de ses inventeurs, on retrouve, parmi eux, des ingénieurs et scientifiques.
Trois entités distinctes composent le projet Cardano :
Cardano souhaite s’imposer comme une solution de paiement, au même titre que Bitcoin, par exemple. La crypto ADA est le jeton lié au projet Cardano.
Il est ainsi possible d’acheter Cardano. Grâce à Cardano, il est possible de développer et maintenir des dApps (applications décentralisées).
La cryptomonnaie ADA est née d’une divergence de point de vue entre deux hommes : Charles Hoskinson et Vitalik Buterin.
Sur le réseau social Reddit, Charles Hoskinson se fait appeler “Ethereumcharles”. Et pour cause, c’est l’un des fondateurs du projet Ethereum aux côtés de Vitalik Buterin, qui a même assumé le rôle de “CEO d’Ethereum” pendant une brève période.
Cette relation prometteuse n’a cependant pas duré. Hoskinson et Buterin ne partageaient pas la même vision quant à l’orientation commerciale à donner à Ethereum. Buterin voulait qu’Ethereum reste un projet open-source et à but non-lucratif, alors qu’Hoskinson souhaitait faire d’Ethereum une entreprise.
Après une période de négociation, Hoskinson a été invité à quitter le projet et le développement d’Ethereum est resté structuré sous une Fondation à but non-lucratif de droit Suisse.
Hoskinson a donc décidé de se pencher sur son propre projet de Blockchain. Il a été rejoint dans cette aventure par Jeremy Wood, un ancien collaborateur d’Ethereum.
Ensemble, ils ont créé la société d’ingénierie blockchain IOHK pour donner vie à ce nouveau projet, plus conforme à la vision d’Hoskinson.
Ce projet est Cardano. Il doit son nom à Girolamo Cardano, un philosophe, mathématicien, ingénieur et astrologue du 16e siècle.
Quant à son actif, “ADA”, il est nommé ainsi en hommage à Ada Lovelace, pionnière de l’informatique. Une blockchain qui selon les dires de Hoskinson “a résolu le Proof-Of-Stake” grâce au protocole Ouroboros
Charles Hoskinson se lance dans le développement de Cardano dès 2015. Ce projet ambitieux a pour objectif de résoudre les problèmes présents dans le secteur des cryptomonnaies. En effet, Hoskinson juge Bitcoin trop lent, pas assez flexible. Quant à Ethereum, il est, selon lui, pas assez fiable, avec des perspectives d’évolution trop limitées. Hoskinson présente ainsi Cardano crypto comme une blockchain de troisième génération offrant évolutivité, sécurité et décentralisation à la fois. L’objectif de Cardano est d’exécuter des applications décentralisées.
L’ADA fait son entrée dans le monde des cryptomonnaies en septembre 2017 via une capitalisation boursière de 600 millions de dollars. Elle atteint 10 milliards dès son lancement en 2017, puis 33 milliards en 2018, avant de revenir à un montant de 10 milliards de dollars.
Cardano prend rapidement de l’essor et gagne en popularité.
En 2017, l’IOHK apporte son soutien à l’Université d’Édimbourg pour lancer le Blockchain Technology Laboratory. En 2019, Cardano signe un accord avec l’Université libre de Tbilissi pour développer un système de vérification des diplômes en Géorgie.
En 2021, Cardano s’associe au gouvernement éthiopien pour mettre en place la solution Atala PRISM.
Celle-ci permet d’identifier ainsi que de suivre la progression des étudiants durant leur parcours scolaire.
Il s’agit du plus gros partenariat signé entre un gouvernement et une blockchain.
Le succès de Cardano est incontestable. L’ADA atteint à nouveau une valeur de 39,8 milliards de dollars en 2021.
Elle fait alors partie des dix blockchains les plus importantes. La même année, il devient possible d’utiliser des smart contracts sur le mainnet de Cardano.
Le 4 mai 2022, Cardano lance son premier stablecoin natif, le Djed.
Le protocole Ouroboros, dont le Whitepaper change régulièrement, est fréquemment accusé de complexité pseudo-académique, et fait froncer les sourcils de la communauté.
L’objectif affiché est de maintenir une Blockchain en Proof-Of-Stake disposant d’importantes capacités de traitement des transactions avec une inflation limitée et réduite progressivement sur une période de dix ans.
Pour cela, Cardano utilise une architecture spécifique en deux niveaux. Le premier, nommé Cardano Settlement Layer (CSL) rend possible les opérations de transactions avec la cryptomonnaie ADA.
Le second, nommé Cardano Computation Layer (CCL), est utilisé pour exécuter les applications de la Blockchain et le travail lié au développement et évolutions du protocole.
Cette séparation doit rendre Cardano plus ‘’agile’’ et permettre en théorie un fonctionnement en Proof-of-Stake tout en allant beaucoup plus vite dans l’application des changements et éventuels ‘’forks’’, comparés à des protocoles comme Ethereum qui nécessitent un consensus global.
Cardano s’affiche en concurrent direct d’Ethereum, via le développement de smart-contracts et la possibilité de construire facilement des applications décentralisées fonctionnant intégralement sur la Blockchain.
Posséder une copie intégrale de la blockchain Cardano est aussi simple que sur les autres blockchains : il suffit de télécharger puis de faire fonctionner le logiciel adéquat.
En revanche, créer un bloc et l’ajouter à la Blockchain n’est réservé qu’à un club très privé ne comptant que 7 membres ou “slot leaders” qui seuls, peuvent créer des blocs et valider des transactions. Ces Slot Leaders sont les seuls nœuds validateurs du réseau.
Bien que l’information ne soit pas officiellement disponible, tout porte à croire que ces 7 nœuds appartiennent en intégralité à trois entités : IOHK, société privée appartenant à Charles Hoskinson, la Cardano Fondation et Emurgo, entitée de la Cardano Fondation orientée investissement.
Depuis son lancement, Cardano se situe à son étape initiale de mise en place appelée “Byron”. Les développeurs à la tête du projet assurent que dès la prochaine étape de développement appelée “Shelley”, un véritable Proof-Of-Stake sera mis en place, permettant à tout à chacun disposant de tokens ADA de participer directement au processus de validation des transactions en maintenant un noeud ou indirectement via délégation comme sur Tezos.
La mise à jour Shelley était prévue pour 2019. La fin de l’année approchant, aucune source crédible ne semble indiquer un déploiement à court-terme.
Généralement, ce type de mise à jour majeure est précédée d’une longue période de “testnet”, un réseau secondaire sans véritable enjeu financier, afin de tester le code en conditions réelles.
Ce testnet, bien qu’annoncé, n’est pas disponible. Il semble donc improbable que la mise à jour Shelley soit disponible dans le réseau principal avant 2020.
Cardano est un projet qui affiche de généreuses ambitions et maîtrise les effets d’annonce. Force est de constater que l’Ethereum-Killer réalise cependant pour l’instant le grand écart entre ses ambitions et ses réalisations.
Une plateforme de smart-contracts sans la moindre application décentralisée, une blockchain avec un nombre extrêmement réduit de transactions, un réseau contrôlé par sept noeuds provenant de trois entités soeurs, des capacités de traitement de transactions inférieures à celles d’Ethereum, des promesses de développement retardées ou oubliées.
Alors comment justifier une valorisation actuelle sur le marché de plus d’un milliard d’euros ?
Malheureusement, uniquement par la spéculation et les effets d’annonce.
Listé sur plusieurs places de marchés majeures fin 2017, le token ADA était rapidement passé de quelques centimes de dollars à plus d’un dollar au plus fort de la bulle des cryptos en janvier 2018.
L’actif a bénéficié d’une ”hype” similaire à celle entourant des projets comme IOTA ou TRON.
Seulement depuis, le crash de 2018 est passé par là, et le token ADA a perdu jusqu’à 97% de sa valeur depuis son plus haut historique.
Une volatilité qui questionne. Nul doute qu’il faudra désormais montrer plus que de la hype pour repartir vers les plus hauts historiques de l’actif.
Paiement des frais de transaction :
Les jetons ADA sont utilisés pour payer les frais de transaction sur le réseau Cardano. Chaque fois qu’une transaction est effectuée ou qu’un contrat intelligent est exécuté sur la blockchain, des frais sont payés en ADA pour récompenser les validateurs qui sécurisent le réseau.
2. Staking et participation à la gouvernance :
L’une des caractéristiques distinctives de Cardano est son mécanisme de consensus basé sur le Proof-of-Stake (PoS). Les détenteurs d’ADA peuvent participer au staking, c’est-à-dire verrouiller leurs jetons pour contribuer à la validation des transactions.
En retour, ils reçoivent des récompenses sous forme de nouveaux ADA. De plus, le staking permet aux utilisateurs de participer à la gouvernance du réseau en votant sur des propositions de mise à jour ou de nouvelles fonctionnalités.
3. Soutien aux applications décentralisées (dApps) :
Cardano est une plateforme qui permet le développement d’applications décentralisées (dApps). Les jetons ADA peuvent être utilisés au sein de ces dApps pour diverses transactions, comme l’achat de biens numériques, la rémunération de services ou le financement de projets via des mécanismes de crowdfunding décentralisés.
4. Réserve de valeur et investissement :
Comme de nombreuses cryptomonnaies, ADA peut également être utilisé comme réserve de valeur ou comme un actif d’investissement. Les investisseurs achètent et détiennent des ADA dans l’espoir que leur valeur augmentera avec le temps, en fonction du développement de l’écosystème Cardano et de l’adoption croissante de la blockchain.
5. Participation aux pools de liquidité :
Dans l’écosystème DeFi (finance décentralisée) de Cardano, ADA peut être utilisé pour fournir des liquidités aux échanges décentralisés et aux autres protocoles financiers.
Les utilisateurs qui contribuent à ces pools de liquidité sont souvent récompensés par des frais de transaction ou d’autres jetons.
Si le projet Cardano crypto peut sembler séduisant sur le papier, il a manqué à ses débuts d’une communauté de développeurs, de traction et d’intérêt à court et moyen terme. Par conséquent, un investissement dans l’actif ADA pouvait sembler être un pari particulièrement risqué à ce stade.
Aujourd’hui, la cryptomonnaie ADA apparaît comme un investissement plus sûr, elle connaît une popularité forte et s’impose peu à peu parmi les cryptomonnaies à considérer. Mais sa forte volatilité, observée en 2021, là où d’autres cryptos sont restées stables, doit inviter à la prudence.
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Rien, à l’heure actuelle, ne suggère que Cardano blockchain a les capacités de concurrencer Ethereum ou même d’occuper le marché de manière significative à terme.
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