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Le métaverse, c’est l’affaire de Meta 

4 octobre 2022

Espace collectif virtuel partagé, le métaverse est vu par de nombreuses personnes comme le futur d’Internet, et un levier de développement essentiel du Web3. C’est pourtant un concept ancien et pluriel qui n’est pas l’apanage de Meta et son fondateur Mark Zuckerberg, à l’origine de l’intérêt médiatique récent. 

Un nouvel engouement médiatique, mais pas seulement 

Chaque année à l’automne, l’entreprise de Mark Zuckerberg tient sa fameuse Facebook Connect, une conférence à destination des développeurs des plateformes de réalité virtuelle et augmentée de l’entreprise. Lors de l’édition 2021, les mots introductifs du CEO de l’entreprise ont largement dépassé le discours de bienvenue : Facebook a annoncé devenir Meta, une entreprise ayant pour mission de “connecter le monde” en créant le métaverse, considéré par Zuckerberg comme “le futur d’Internet”. 

L’annonce fracassante du changement de dimensions et de perspectives du géant de l’Internet social a fait l’effet d’un tsunami médiatique : qu’est-ce que le métaverse ? Est-ce une bulle, un futur souhaitable, une idée, un jeu vidéo ? Ce qui est certain, c’est que Meta, notamment grâce à ces annonces et au succès de son casque de réalité virtuelle Oculus Quest 2, a réussi à déplacer le curseur de l’attention médiatique vers le concept du métaverse, voire à s’en attribuer le monopole auprès du grand public. 

Pourtant, le sujet, déjà ancré dans la culture populaire, était déjà mûr pour devenir un pilier fondamental du Web3. Comment ? 

 

 

Du samouraï virtuel à Roblox, une exploration des méta-possibles 

L’inventeur du concept de métaverse n’est en effet autre qu’un auteur de science-fiction, Neal Stephenson, dans son ouvrage Le Samouraï Virtuel (1992). Cette idée d’un espace virtuel communautaire où l’on pourrait mener une vie parallèle en ligne a ensuite connu  un regain de popularité avec le film Ready Player One de Steven Spielberg, sorti en 2018. 

 

En tant que concept, le métaverse n’est donc pas l’apanage de Meta. Mais dans la réalité, les plateformes de VR comme Horizon Worlds, le métaverse made in Meta qui devrait arriver en France sur Oculus Quest à l’été 2022, sont-elles les seules à créer un méetaverse ? Pas vraiment. On peut en effet considérer que le monde du gaming a déjà créé des ébauches de ce monde virtuel alternatif. Le jeu vidéo Fortnite, avec ses concerts géants  et son aspect socialisant, mais aussi avec son mode de rencontres et mini-jeux Party Worlds, est un pionnier du domaine. Plus récemment, Roblox, qui réunit 33 millions d’utilisateurs, s’est imposé comme la plateforme d’expériences vidéoludiques variées où l’on se réunit pour vivre des expériences communes qui vont au-delà du simple jeu vidéo. 

Les métaverses à l’aune du Web3 

Néanmoins, le métaverse n’est pas plus l’apanage de Mark Zuckerberg qu’il n’est celui du monde vidéoludique. C’est en tissant des liens avec le Web3 et en utilisant ses outils – blockchains, crypto-actifs et NFT – que certaines plateformes de métaverse en 3D tirent leur épingle du jeu et se distinguent véritablement. 

Fondé par deux Français, The Sandbox est ainsi l’un des métaverses les plus avancés. Hébergé sur la blockchain Ethereum, cette plateforme en ligne permet d’acquérir des parcelles de terrain, les LAND, dans son univers virtuel cubique, visuellement proche du jeu vidéo Minecraft. De grandes marques, à l’image de Carrefour, Ubisoft ou Atari, ont déjà acquis des LAND. Sur ces terrains de pixels, on peut tout à la fois organiser des événements virtuels, vendre de NFTs et proposer des expériences diverses. Les utilisateurs de The Sandbox conçoivent eux-même les assets de la plateforme, c’est-à-dire les objets ou jeux qui vont constituer l’expérience sur le métaverse. 

De l’immobilier virtuel à la sociabilisation, la création de jeux ou la vente de NFT, The Sandbox ou son alternative Decentraland proposent une expérience riche dans un univers où se mêlent finance décentralisée (DeFi) et créativité numérique, c’est-à-dire mettre au pont, échanger, acheter et vendre des créations sans intermédiaires. Et si c’était ça, le futur immédiat du métaverse ? 

 

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