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Une des caractéristiques fondamentales du protocole Bitcoin est la limite stricte du nombre de bitcoins qui seront créés : il est stipulé qu’on ne pourra jamais dépasser 21 millions de bitcoins.
Malheureusement, l’histoire montre que beaucoup de projets financiers commencent avec les meilleures intentions du monde, notamment avec des promesses d’orthodoxie budgétaire stricte, pour finir quelques années plus tard par des gabegies incontrôlables résultant le plus souvent en des crises coûteuses pour les entreprises et les pays affectés, voire pour l’ensemble de l’économie mondiale.
Pourquoi le Bitcoin serait-il insensible à ces travers humains ? Malgré le fait qu’il s’agisse d’un protocole informatique, des humains le contrôlent et le font évoluer. Dès lors, comment pourrait-on garantir qu’il est quasiment impossible de dépasser les fameux 21 millions de bitcoins ? Coinhouse a récemment publié un article sur les raisons qui donnent de la valeur au Bitcoin.
Le protocole Bitcoin prévoit la création d’un nombre prédéterminé de bitcoins lors de la création de chaque bloc de transactions, avec une division par deux tous les quatre ans : 50 bitcoins en 2009, 25 en 2013, 12,5 en 2016, et ainsi de suite, jusqu’à arriver à un total de 21 millions en 2140. L’idée derrière cet algorithme est de créer un actif qui ait une rareté intrinsèque, semblable aux métaux précieux, et qu’il soit de plus en plus difficile de ‘’l’extraire” jusqu’à arriver à cette limite absolue.
Si la perception de cette rareté augmente au travers du temps, elle pourrait faire augmenter la demande du Bitcoin et donc du cours BTC. Acheter du Bitcoin dans les premières années de sa création peut donc s’avérer être un bon investissement. Notre plateforme Coinhouse propose d’acheter et de conserver ses bitcoins de manière sécurisée.
Note : ne manquez pas l’opportunité d’investir dans le Bitcoin (BTC), la première crypto monnaie limitée au plafond de 21 millions de tokens. Découvrez pourquoi cette rareté fait du Bitcoin un actif inestimable. Dès maintenant sécurisez votre avenir financier.
Le code informatique de Bitcoin est contrôlé par une centaine d’informaticiens. Ils ont été choisis par cooptation, suite aux propositions d’évolution qu’ils ont pu présenter, de la même façon que beaucoup d’autres projet du monde du Logiciel Libre, tels que le système d’exploitation Linux.
Ces informaticiens ont la possibilité de modifier le code source du protocole, et d’en publier de nouvelles versions. Rien n’empêcherait donc en théorie qu’ils produisent une nouvelle version du protocole qui ait une limite beaucoup plus élevée. La modification serait relativement simple à implémenter, et des mécanismes de corruption, de menaces, ou de simple malveillance pourraient être mis en oeuvre pour opérer ce changement.
Malgré tout, la seule action que peuvent effectuer les gestionnaires du code source est de publier de nouvelles versions du protocole. Reste encore à les déployer. Pour rappel, le réseau Bitcoin se compose d’environ dix mille machines réparties dans le monde, qu’on appelle des nodes. N’importe qui a la possibilité d’installer une node chez lui, en téléchargeant le programme Bitcoin Core.
Dès qu’une nouvelle version du protocole est publiée, chaque propriétaire d’une node a la possibilité de la télécharger et de l’installer, ou de ne pas le faire. De fait, si une nouvelle version du protocole était publiée, permettant de dépasser les 21 millions de bitcoins, il est très peu probable que les propriétaires des nodes l’installleraient, puisque cela aboutirait à une dilution de leurs avoirs.
Ce sont les propriétaires des nodes qui décident des règles de fonctionnement du réseau Bitcoin en choisissant ou pas d’installer les nouvelles versions du protocole proposées par les gestionnaires du code informatique.
On dit que le fonctionnement du réseau Bitcoin est un système de consensus : si plus de 90% des propriétaires de nodes installent une nouvelle version, on considère qu’il y a un consensus et cette version est considérée comme la véritable.
Dans le cas où les propriétaires des nodes ne trouvent pas de consensus, c’est-à-dire qu’une partie non négligeable des nodes est mise à jour avec une version du protocole tandis que les autres nodes conservent l’ancienne version, il se produit ce qu’on appelle un hard fork : on a désormais deux réseaux distincts et incompatibles, avec des règles de fonctionnement différentes, mais partageant le même historique jusqu’au moment de leur séparation.
Dans tous les cas, le réseau Bitcoin continue à fonctionner : soit par consensus sur une version donnée, soit par séparation d’avec une partie de la communauté qui préférera fonctionner sur une version différente du protocole. Il est donc extrêmement improbable que la limite de 21 millions de bitcoins puisse être dépassée un jour, et c’est notamment par le biais de ce mécanisme que la stabilité et la sécurité du réseau Bitcoin sont assurées.
Malgré tout, la seule action que peuvent effectuer les gestionnaires du code source est de publier de nouvelles versions du protocole. Reste encore à les déployer. Pour rappel, le réseau Bitcoin se compose d’environ dix mille machines réparties dans le monde, qu’on appelle des nodes. N’importe qui a la possibilité d’installer une node chez lui, en téléchargeant le programme Bitcoin Core.
Dès qu’une nouvelle version du protocole est publiée, chaque propriétaire d’une node a la possibilité de la télécharger et de l’installer, ou de ne pas le faire. De fait, si une nouvelle version du protocole était publiée, permettant de dépasser les 21 millions de bitcoins, il est très peu probable que les propriétaires des nodes l’installleraient, puisque cela aboutirait à une dilution de leurs avoirs.
Ce sont les propriétaires des nodes qui décident des règles de fonctionnement du réseau Bitcoin en choisissant ou pas d’installer les nouvelles versions du protocole proposées par les gestionnaires du code informatique.
On dit que le fonctionnement du réseau Bitcoin est un système de consensus : si plus de 90% des propriétaires de nodes installent une nouvelle version, on considère qu’il y a un consensus et cette version est considérée comme la véritable.
Dans le cas où les propriétaires des nodes ne trouvent pas de consensus, c’est-à-dire qu’une partie non négligeable des nodes est mise à jour avec une version du protocole tandis que les autres nodes conservent l’ancienne version, il se produit ce qu’on appelle un hard fork : on a désormais deux réseaux distincts et incompatibles, avec des règles de fonctionnement différentes, mais partageant le même historique jusqu’au moment de leur séparation.
Dans tous les cas, le réseau Bitcoin continue à fonctionner : soit par consensus sur une version donnée, soit par séparation d’avec une partie de la communauté qui préférera fonctionner sur une version différente du protocole. Il est donc extrêmement improbable que la limite de 21 millions de bitcoins puisse être dépassée un jour, et c’est notamment par le biais de ce mécanisme que la stabilité et la sécurité du réseau Bitcoin sont assurées.
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