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Il y a encore trois ans, à mes débuts dans le milieu du Web3, jamais je n’aurais imaginé pouvoir m’exprimer comme je le fais aujourd’hui à travers différents écrits, ou lors de prises de parole à des événements. Souvent empreinte de doute chaque fois que mon avis était sollicité, je ne me sentais pas légitime. Pourtant, j’ai réussi à surmonter ce sentiment et, petit à petit, je prends de plus en plus la parole. Pour toutes celles et ceux qui, comme moi, se sentent bloquées par ce plafond de verre, se sentent illégitimes et pas à leur place, voici les trois choses qui m’ont aidée à aller de l’avant et à franchir ce cap.
La première étape pour surmonter le syndrome de l’imposteur est d’apprendre à reconnaître et à valoriser la richesse de son propre parcours. Dans notre quête de perfection et d’excellence, nous avons une fâcheuse tendance à sous-estimer nos réalisations personnelles et professionnelles, à considérer nos connaissances comme acquises ou évidentes. Pourtant, ce que nous tenons pour banal ou élémentaire peut, pour quelqu’un d’autre, représenter une véritable révélation, une nouvelle perspective sur un problème ou une question jusqu’alors irrésolue.
Dans l’univers du Web3, caractérisé par son rythme effréné d’innovation et de changement, cette tendance à la banalisation de nos acquis est d’autant plus marquée. Personne, dans ce domaine, ne peut prétendre détenir toutes les réponses. Les technologies évoluent, les paradigmes changent, et avec eux, les connaissances requises pour naviguer dans cet espace. Chaque expérience vécue, chaque échec rencontré, et chaque succès remporté enrichissent un réservoir unique de savoirs et de compétences. Ce réservoir, propre à chaque individu, est le fruit d’un parcours distinct et personnel.
Prendre le temps de réfléchir à ce que vous avez appris, de le documenter par écrit ou par tout autre moyen, de manière régulière, peut se révéler être un exercice extrêmement bénéfique. Cette pratique de documentation et de réflexion aide non seulement à visualiser concrètement votre croissance et votre évolution, mais aussi à prendre conscience de la valeur réelle de vos contributions. Vous commencez à voir que, loin d’être insignifiantes, vos connaissances et vos expériences sont nombreuses.
En outre, cette prise de conscience est souvent accompagnée d’une augmentation de la confiance en soi. Comprendre que vous avez, en effet, beaucoup à offrir change la perception que vous avez de vous-même et modifie la manière dont vous interagissez avec le monde. Cela vous encourage à partager plus librement vos idées, à participer à des discussions, et à contribuer à des projets avec une assurance renouvelée. En somme, arrêter de banaliser ses connaissances est une étape cruciale pour vaincre le syndrome de l’imposteur et pour s’épanouir pleinement dans ses engagements professionnels et personnels.
Le partage de connaissances est un pilier fondamental dans la démarche de dépassement du syndrome de l’imposteur. Lorsque nous prenons l’initiative d’enseigner ou de partager notre savoir avec autrui, nous entrons dans un processus de renforcement de notre propre compréhension et de notre confiance en nos capacités. Ce cycle vertueux de partage et d’apprentissage mutuel est essentiel pour briser les barrières du doute et pour s’affirmer en tant qu’actrice active dans son domaine.
Le choix du canal de communication joue un rôle prépondérant dans cette dynamique de partage. Il est crucial de sélectionner des moyens d’expression qui résonnent avec votre personnalité et vos préférences individuelles. Pour certaines, l’écriture de blogs ou d’articles peut constituer une voie privilégiée pour transmettre leurs idées et leurs connaissances. Pour d’autres, la création de contenu audiovisuel, comme des podcasts ou des vidéos, offre une plateforme plus dynamique et interactive pour engager leur audience. Les forums en ligne et les réseaux sociaux représentent également des espaces précieux pour échanger, débattre et partager des connaissances dans un cadre plus informel et accessible.
Commencer par des gestes simples, tels que commenter des publications pertinentes ou partager des posts sur les réseaux sociaux, peut servir de premier pas vers une participation plus active et engagée. Ces actions, bien que modestes, sont fondamentales pour construire votre présence et votre crédibilité au sein de votre communauté. Elles vous permettent de vous familiariser avec l’acte de partage et de recevoir des retours constructifs qui peuvent affiner votre pensée et votre expression.
L’engagement dans la communauté Web3, en particulier, offre un terrain fertile pour le partage de connaissances. Cette communauté, caractérisée par sa diversité et son ouverture, accueille avec enthousiasme les contributions de chacune, indépendamment du niveau d’expertise. En vous impliquant, vous découvrirez rapidement un réseau de soutien et d’apprentissage mutuel, où chaque question, chaque partage d’expérience enrichit le collectif. Cette dynamique de soutien et de reconnaissance mutuelle est un antidote puissant contre le sentiment d’imposture, car elle valide l’importance et la pertinence de votre contribution.
L’humain a tendance à se focaliser sur le négatif, sur les critiques plutôt que sur les encouragements. Cette tendance, bien qu’utile pour notre croissance personnelle, peut parfois nous amener à négliger l’importance des retours positifs. Chaque compliment, chaque mot de remerciement, chaque signe de reconnaissance est une validation précieuse de notre travail et de notre contribution. Ces moments de reconnaissance sont essentiels, car ils témoignent de l’impact réel et positif que nous avons sur notre entourage et sur la communauté à laquelle nous appartenons.
Pour contrebalancer la tendance naturelle à se focaliser sur le négatif, l’idée de constituer un “dossier de succès” s’avère être une stratégie particulièrement efficace. Ce dossier, qui regroupe tous les retours positifs reçus — qu’il s’agisse de commentaires encourageants, de messages de remerciement, ou même de témoignages de personnes ayant bénéficié de vos conseils —, devient un outil puissant pour maintenir une perspective équilibrée sur votre propre valeur et sur l’importance de votre travail.
Ces témoignages positifs agissent comme des ancres, nous rappelant nos succès et notre capacité à générer un impact positif, même dans les moments de doute ou d’incertitude. Ils servent de bouclier contre les critiques, qu’elles proviennent de notre propre voix intérieure ou de sources externes, et renforcent notre confiance en notre propre valeur. En se remémorant ces succès, on se rappelle que notre voix compte, qu’elle résonne au sein de la communauté et qu’elle a le pouvoir de toucher et d’inspirer les autres.
De plus, ce processus de compilation et de réflexion sur les retours positifs reçus encourage une attitude de gratitude, non seulement envers celles et ceux qui ont pris le temps de partager leur appréciation, mais aussi envers soi-même, pour le chemin parcouru et les efforts déployés. Cette gratitude renforce notre bien-être émotionnel et notre motivation, nous poussant à poursuivre nos efforts et à continuer de partager notre savoir et notre expérience.
En définitive, se concentrer sur le positif et reconnaître la valeur de chaque retour positif reçu est une démarche essentielle pour surmonter le syndrome de l’imposteur. Elle nous permet de construire une image de soi plus positive, de renforcer notre confiance en nos capacités et de nous ancrer dans la conviction que notre contribution est non seulement appréciée, mais aussi nécessaire. En adoptant cette perspective, nous nous équipons pour affronter les défis avec une assurance renouvelée, conscientes de l’impact positif que nous pouvons avoir sur le monde qui nous entoure.
L’univers du Web3 offre la particularité de pouvoir choisir entre l’anonymat et la transparence. Pour celles et ceux qui sont paralysés à l’idée de s’exposer, opérer sous un pseudonyme peut offrir un espace de liberté et de créativité sans précédent. Cet anonymat peut servir de zone tampon, vous permettant d’expérimenter, de vous exprimer et de construire votre confiance sans la pression associée à votre identité réelle. Attention cependant à ne pas s’y accommoder. Ce n’est évidemment pas l’idéal pour s’exprimer pleinement, incarner son message et être identifiée.
Je souhaite vraiment que ces recommandations puissent inspirer au moins une personne parmi vous à oser s’exprimer. Je suis convaincue qu’en faisant ainsi, elle encouragera à son tour quelqu’un d’autre à faire de même. C’est par cette chaîne de soutien et d’encouragement que nous verrons de plus en plus de femmes faire entendre leur voix dans le secteur tech et de la finance. Il y a trois ans, jamais je n’aurais pensé m’exprimer comme je le fais aujourd’hui. Pourtant, grâce à Coinhouse, j’ai aujourd’hui à nouveau occasion de transmettre et de m’exprimer. Et quel plaisir !
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