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Coinhouse
Coinhouse SAS au capital de 210.000€, RCS Paris 815 254 545, siège social : 14 Avenue de l’Opéra 75001 Paris – support@coinhouse.com. Enregistrée auprès de l’AMF au titre des activités d’achat/vente d’actifs numériques contre monnaie ayant cours légal, d’échange d’actifs numériques contre d’autres actifs numériques et conservation d’actifs numériques pour compte de tiers sous le numéro : E2020-001.
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Société immatriculée au RCS de Paris sous le numéro 914 384 557, enregistré auprès de par l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution en tant qu’agent prestataire de services de paiement sous le numéro 727503 de l’établissement de monnaie électronique Treezor, dont le siège social est situé 33 avenue de Wagram, 75017 Paris.
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Il était une fois… Coinhouse ! Voici une plongée dans l’histoire d’une entreprise qui ne fait rien comme les autres.
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Certains projets ne se contentent pas de suivre la vague : ils la créent. Coinhouse fait partie de ces pionniers, nés d’une vision bien plus grande que la simple spéculation financière. Héritière directe de la Maison du Bitcoin, ce lieu mythique niché au cœur de Paris, Coinhouse porte en elle une mission singulière : redonner à chacun le contrôle sur ses ressources financières.
Avant d’être un courtier et une plateforme d’échange, Coinhouse est une philosophie. Celle qui consiste à croire que l’avenir de la finance passe par l’éducation financière, l’investissement et l’autonomie. Dans un monde où règne la volatilité et l’expérimentation, Coinhouse joue aussi le rôle de guide et de pédagogue. Elle ne s’adresse pas aux day traders en quête de gains rapides, mais plutôt à ceux qui veulent bâtir leur indépendance financière sur le long terme, en toute sécurité.
Dans cet article, nous allons remonter le fil de cette aventure hors norme : de l’étudiant entrepreneur Éric Larchevêque à la success story Ledger, de la Maison du Bitcoin à la naissance de Coinhouse. Un récit où se croisent explosion du web et innovation, parties de poker et technologie, au service d’un même objectif : mettre la puissance des crypto-actifs entre les mains du plus grand nombre.
Mais commençons par comprendre qui est le fondateur de Coinhouse.
Qu’est-ce que ça voulait dire, croire au Bitcoin en 2013 ?
Cela signifiait parier sur une technologie encore incomprise, à peine sortie de l’ombre du dark web, et ignorée par le grand public comme par les institutions. Cela signifiait aussi affronter le scepticisme ambiant, assumer des regards moqueurs, et surtout, avoir une intuition puissante : que cette monnaie virtuelle allait bouleverser les fondements mêmes du système financier mondial.
À cette époque, Éric Larchevêque n’était pas un novice. Loin de là. Il avait déjà traversé plusieurs vies d’entrepreneur. Étudiant en école d’ingénieur, il crée sa première startup en 1996. Puis, avec Montorgueil SAS, spécialisée dans les sites de rencontres et de divertissement, il réalise un coup magistral : une revente pour 22 millions d’euros en 2007.
Mais ce n’est pas l’argent qui le définit. Ce qui l’anime, c’est le jeu, le risque, la stratégie. Ce n’est donc pas un hasard s’il plonge ensuite dans le poker professionnel. Entre 2007 et 2009, il se hisse parmi les meilleurs joueurs français, accumule plus de 500 000 dollars de gains, et développe un sens aigu de la gestion du risque, de la lecture des signaux faibles, et surtout, de la prise de décision sous pression. Autant de compétences qu’il réutilisera plus tard pour lire… non plus les cartes, mais les tendances de la blockchain.
En 2011, retour à l’innovation avec Prixing, une application de comparaison de prix, qu’il revend au groupe HighCo en 2014. Car, quelques mois auparavant, il est tombé sur un article de TechCrunch qui va bouleverser sa trajectoire. Le sujet ? Un actif numérique étrange et fascinant : le Bitcoin. L’actif ne dépend d’aucune autorité centrale. Aucun État, aucune banque, aucune entreprise. C’est juste un protocole, du code, et une promesse radicale : rendre à chacun le pouvoir sur son argent.
Il lance alors un nouveau projet.
C’est une véritable obsession. Le serial entrepreneur plonge dans les white papers, dévore des articles, s’immerge dans les forums. Peu à peu, une conviction se forme : cette technologie va réécrire les règles du jeu économique mondial. Et il veut être acteur de cette révolution.
Mais acheter du Bitcoin à l’époque, ce n’était pas aussi simple qu’aujourd’hui. Il ne suffisait pas de télécharger une appli. Cela relevait presque de l’exploration clandestine. Les options ?
En 2009, les seuls moyens d’acheter du BTC étaient en le minant, ou en organisant un échange en peer-to-peer via des forums tels que Bitcointalk. Ce système reposait sur la confiance entre les deux parties : l’acheteur envoyait son argent via Paypal en espérant que le vendeur lui enverrait en échange ses bitcoins !
En 2010, Mt. Gox, de son nom complet Magic: The Gathering Online Exchange, un site donc dédié à l’échange de cartes Magic, se transforme en échange Bitcoin. C’est la première structuration de transactions crypto.
Bref, quand Éric Larchevêque achète ses premiers bitcoins, il se rend à l’évidence : il faut rendre l’achat de Bitcoin accessible, compréhensible et concret.
C’est ainsi que naît, en mai 2014, la Maison du Bitcoin. Dans un quartier historique du Sentier à Paris, un espace physique dédié à la blockchain et aux crypto-actifs ouvre ses portes. Une initiative inédite en France, voire en Europe. Pas de business model bien ficelé, pas de plan sur 5 ans. Juste une vision : démystifier Bitcoin, le sortir du virtuel pour le mettre entre les mains du public.
À la Maison du Bitcoin, on pouvait :
Le lieu devient rapidement un véritable “laboratoire d’idées” : à la fois une école informelle et centre nerveux pour ceux qui voient au-delà du buzz. C’est là que se croisent les futurs fondateurs de startups Web3, les passionnés de décentralisation, les idéalistes de la finance libre.
Plus qu’un espace, la Maison du Bitcoin est un acte de foi : celui de rendre palpable une révolution invisible, et de former la première communauté crypto française.
Et de manière inattendue, cette première aventure crypto donnera naissance à deux entreprises. Commençons par la première.
On pourrait croire que Ledger est née dans un laboratoire high-tech ou une salle de marché. Faux. L’entreprise est née dans une salle de réunion de la Maison du Bitcoin, entre des cartons de matériel, des idées folles, et des passionnés aux profils improbables. À l’image d’Éric Larchevêque, l’environnement crypto de 2014 est encore sauvage, mais plein de génies visionnaires prêts à défricher un territoire sans carte.
C’est là qu’Éric rencontre BTChip, une entreprise fondée par un ingénieur brillant, Nicolas Bacca, expert en technologie de carte à puce. Son truc à lui ? Sécuriser des données sensibles sur du hardware. Un savoir-faire rare, hérité des exigences bancaires françaises, mais encore sous-exploité dans la crypto.
Autre acteur atypique dans ce microcosme : Chronocoin, une boîte un peu décalée qui vend du Bitcoin… par La Poste. Oui, des lettres recommandées contenant des clés privées imprimées, envoyées à des particuliers, un peu comme si on expédiait des lingots numériques sous pli discret. Ingénieux, mais risqué.
Et si on mettait tout ça ensemble ? C’est Éric qui initie la fusion entre ces trois entités. Une alliance audacieuse, qui fait sourire à l’époque. Pourtant, de cette synergie naît Ledger, en décembre 2014.
La mission est claire dès le départ : créer un coffre-fort numérique, un hardware wallet inviolable, simple d’usage, et digne de la nouvelle ère financière. Pour Éric Larchevêque, c’est une évidence : on ne pourra jamais démocratiser le Bitcoin si les utilisateurs ne peuvent pas le stocker en toute sécurité. Les hacks à répétition, les erreurs de manip, les pertes de seed phrase (ou clés privées)… Tout ça menace l’adoption.
Au début, le premier prototype de Ledger n’a rien d’un produit Apple. On raconte que les premiers wallets étaient vendus dans une boîte de conserve pour créer un peu de happening marketing, tellement le produit ne parlait à personne. Une autre version tournait sur un vieil ordinateur portable désossé, utilisé uniquement pour générer des clés hors ligne. Sécurité maximale, style minimal.
Mais l’équipe avance vite. La combinaison unique entre expertise industrielle, culture hacker et vision entrepreneuriale donne naissance à un produit à la fois robuste et élégant : le Ledger Nano S. Un petit objet qui tient dans la main… mais qui protège des millions d’euros en crypto-actifs.
En quelques années, Ledger explose. Les ventes s’envolent, les partenariats internationaux se multiplient et les institutions commencent à s’y intéresser. Ce qui était au départ un projet un peu bricolé devient une licorne, valorisée à plus de 1,5 milliard de dollars, leader mondial incontesté dans la sécurisation des crypto-actifs.
Et au cœur de cette aventure ? La vision d’un homme qui a su relier les points avant tout le monde, et transformer un lieu communautaire – la Maison du Bitcoin – en incubateur de géants.
“Géants” au pluriel, car il existe encore tout un pan d’activités de la Maison du Bitcoin entièrement distinct de Ledger.
Regardez la vidéo : Eric Larchevêque : de la Maison du Bitcoin à Coinhouse
Lorsque Ledger prend son envol, Éric Larchevêque ne perd pas de vue son autre priorité : rendre la crypto accessible au plus grand nombre. En effet, le Bitcoin restait à l’époque un univers élitiste, réservé aux technophiles ou aux initiés capables de se repérer dans des interfaces complexes, souvent en anglais, et rarement adaptées aux besoins du grand public français.
C’est ainsi que naît Coinhouse, l’héritière naturelle de la Maison du Bitcoin, mais cette fois sous forme de plateforme en ligne, avec une promesse simple : permettre à n’importe qui d’acheter ses premiers bitcoins :
Accaparé par la gestion de Ledger, Éric Larchevêque confie la gestion de Coinhouse à un des business angels de la Maison du Bitcoin, Nicolas Louvet.
Regardez la vidéo : Vu à la télé ! De la Maison du Bitcoin à Coinhouse : déjà 10 ans !
Dès ses débuts, Coinhouse refuse la facilité du “no rules” souvent associée à la crypto. Elle choisit la voie de la réglementation, de la transparence et de la conformité. En devenant la première plateforme enregistrée auprès de l’AMF, elle envoie un signal fort : oui, on peut faire de la crypto en France, de manière légale, sérieuse et sécurisée.
Assurance responsabilité civile, procédures conformes à la réglementation, service client local, interface épurée : Coinhouse rassure sans brider, et attire aussi bien les particuliers curieux que les entreprises désireuses de diversifier leur trésorerie. Dans un monde encore flou, elle devient une boussole pour les investisseurs prudents, mais ambitieux.
Coinhouse ne se contente plus de vendre du Bitcoin dans un lieu physique. Elle propose aujourd’hui une palette complète de services adaptés aux différents profils d’investisseurs et intégralement disponibles en digital grâce à son application mobile :
Le tout avec un accompagnement humain, pédagogique, rassurant – un vrai luxe dans un écosystème parfois impersonnel. Ici, on prend le temps d’expliquer avant de faire cliquer, un choix profondément aligné avec l’ADN de Coinhouse : former, pas seulement convertir.
Regardez la vidéo : L’histoire de Coinhouse, Nicolas Louvet au micro de BlocksTv
Alors que les particuliers franchissent le pas, les entreprises ne sont pas en reste. Coinhouse s’adresse aussi aux professionnels qui cherchent à diversifier leur trésorerie, optimiser leur fiscalité ou expérimenter des usages Web3.
L’équipe propose des solutions adaptées aux enjeux comptables, réglementaires et stratégiques du monde corporate. Là encore, Coinhouse joue le rôle d’intermédiaire intelligent entre les promesses du Bitcoin et la réalité des bilans financiers.
Rétrospectivement, le pari est vertigineux. Rien n’aurait pu prédire le succès de Ledger et Coinhouse. Il fallait une vision forte, un sens du timing, et surtout un instinct d’entrepreneur affûté par des années d’expérience hétéroclites – de la tech au poker. C’est ce mélange atypique qui fait d’Éric Larchevêque un entrepreneur hors norme, capable de créer, en même temps, les deux plus grandes entreprises françaises dans l’univers crypto.
Pour Éric Larchevêque, Bitcoin n’est pas seulement un actif numérique, ni un outil d’investissement. Il incarne une philosophie profonde de liberté. Là où les monnaies traditionnelles sont soumises à l’influence des banques centrales, des États et de politiques inflationnistes parfois instables, Bitcoin offre une alternative radicale : une monnaie décentralisée, transparente, limitée et indépendante.
À la naissance de Coinhouse, l’offre de crypto-actifs s’est élargie pour proposer une sélection de projets prometteurs adaptés aux différents profils d’investisseurs.
Mais la vision reste intacte : incarner une volonté d’émancipation monétaire. Posséder des cryptos, c’est posséder une part d’autonomie, une forme de souveraineté financière individuelle, affranchie des structures traditionnelles. En synthèse, Coinhouse est un pont entre les citoyens d’aujourd’hui et la finance de demain. Entre ceux qui subissent les règles et ceux qui veulent les comprendre. Un outil pour que chaque individu puisse redevenir maître de son patrimoine, à son rythme, avec ses propres règles.
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